Les gouttes de pluie, les grêlons et les particules de grésil (de petits grains de glace) tombent par gravité vers le bas du nuage, au-dessous des gouttes d'eau et des cristaux de glace de taille
inférieure qui restent en suspension. Lorsque les grosses particules entrent en collision avec les cristaux de glace à une température inférieure à une limite critique (autour de -15° C), les
grains de grésil se chargent négativement, et positivement si cette température est supérieure à ladite limite. Comme les grains tombent plus rapidement que les cristaux, ils transportent depuis
les zones supérieures du nuage, où les températures sont inférieures à -15° C, des charges négatives vers le bas. Le seuil des -15° C dépassé, celles-ci deviennent positives. On obtient alors la
structure tripolaire du nuage avec une couche médiane chargée négativement entourée de deux couches positives. Cependant les chocs entre particules ne sont pas seuls à l'origine de
l'électrisation du nuage.
- "j'irai dormir chez vous" avec Antoine de Maximy sur France 5
- reportage avec Ian Wright sur France 5
- "Quête d'action" sur W9
- Emission de la chaîne "Voyage"
De ce moment où l'on a commencé à mettre en doute l'instantanéité de le lumière à celui où sa vitesse est devenue une constante scientifique, il se sera écoulé… 10 siècles. C'est cette longue histoire, pleine de rebondissements qu'entreprend de raconter, ici, Jamy, l'animateur du magazine "C'est pas sorcier". Conteur inspiré, drôle et volubile, il y apparaît entouré des personnages historiques en dessin animé au trait. Ses démonstrations étant assurées par des modélisations 3D. Dans cette quête, on croise d'abord Copernic, Galilée et Kepler. En effet, leurs recherches et découvertes astronomiques ont joué un rôle déterminant dans les premières tentatives de mesure de la vitesse de la lumière, aux XVII et XVIIIe siècle. Puis, au milieu du XIXe, s'éloignant des méthodes astronomiques, d'ingénieux savants vont mettre en place les premières mesures la vitesse de la lumière sur terre. Les Français Hippolyte Fizeau et Léon Foucault, des autodidactes, fabriquent des machines d'une extraordinaire inventivité, à roue dentée ou à miroir tournant, que le programme fait revivre. Le français Alfred Cornu puis l'américain Albert Michelson perfectionnent, enrichissent ces machines les rendant de plus en plus précises. Avec eux la mesure de la vitesse de la lumière acquiert une autre dimension, c'est le début d'une course effrénée à la précision de la mesure, doublé d'une course au prestige entre nations. Arrive le XXe siècle et avec lui la compréhension de la vraie nature corpusculo-ondulatoire de la lumière. Changement d'objet : mesurer la vitesse de la lumière se réduit tout simplement à mesurer une longueur d'onde et à la multiplier par sa fréquence. La fin de l'histoire est inattendue avec l'arrivée d'un nouvel intrus : le mètre. En effet, nos savants avaient mesuré la vitesse de la lumière en utilisant comme unité "le mètre par seconde". Mais, contrairement à la seconde et à son horloge atomique, le mètre apparaît à la science de la fin du XXe siècle trop peu précis et surtout trop peu universel. La parade est trouvée : Fixons désormais la vitesse de la lumière et définissons le mètre à partir de cette vitesse. Puisque la lumière se déplace à 299.792.458 m/s, un mètre sera désormais la longueur parcourue par la lumière en 1/299.792.458e de seconde.
Il y a quelques mois, je voyais sur M6 dans l'émission "Capital" un reportage sur Google, sur Sergey Brin et Larry Page, leur réussite ...
J'ai enfin retrouvé se reportage grace à mon ami ... Google :D
Bref, je l'ai trouvé super interessant et ceci m'a permis de comprendre certaines choses (les divers dessins de google sur la page d'accueil, la manière de travailler et la mentalité)
Dans son dernier essai, intitulé "Singularités" (éd. Odile Jacob, mai 2005), le prix Nobel Christian de Duve s'interroge sur la nature de la vie, son origine et son évolution. Sa réflexion, estime-t-il, " peut aussi guider nos explorations en quête de signes de vie dans notre galaxie ou ailleurs. Le ton est donné. Aujourd'hui, la communauté scientifique, à l'immense majorité, rejette les thèses d'un Monod pour qui " l'homme sait enfin qu'il est seul dans l'immensité indifférente de l'Univers d'où il a émergé par hasard. " Désormais biologistes, astrophysiciens et mathématiciens affirment a contrario que "l'Univers est gros de la vie et que la vie est grosse de la pensée". Ce remarquable documentaire fait le point sur la question. Quelles sont les conditions nécessaires pour qu'une région de l'espace puisse accueillir la vie ? Où chercher et de quelle manière pour repérer des êtres vivants élémentaires ou, à l'inverse, très évolués ? Possédons-nous des indices d'une vie intelligente extraterrestre ? Que faut-il penser du phénomène "ovni" ? Si les extraterrestres existent, à quoi pourraient-ils ressembler ? Nous ont-ils déjà rendu visite ? Une rencontre du troisième type constituerait-elle un désastre pour l'humanité, comme l'affirme le célèbre physicien Stephen Hawking ?